Interdiction formelle du cellulaire en classe

Certains sont d’avis que les cellulaires devraient être interdits et qu’ils n’ont pas leur place en classe, tandis que d’autres aimeraient qu’ils soient plutôt intégrés. 

Rappelons que le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, va permettre une certaine flexibilité à cette règle, en permettant les cellulaires pour des raisons pédagogiques. 

Pour l’instant, la façon dont les téléphones intelligents seront proscrits reste à être déterminée par les établissements scolaires.

La présidente du Syndicat de l’enseignement de la Jamésie et de l’Abitibi-Témiscamingue, Cindy Lefebvre, a pu sonder le terrain sur l’enjeu.

Elle confirme que près de 93 % des enseignants consultés sont en faveur de l’interdiction des cellulaires en classe, sauf pour des activités pédagogiques.

Mais malgré cette forte approbation, il reste tout de même beaucoup de préoccupations autour de l’implantation des règlements en général.

Et elle espère que les élèves, autant que les parents, seront compréhensifs et coopératifs par rapport aux nouveaux règlements.

La présidente affirme que même s’il y a déjà plusieurs règlements qui sont déjà implantés dans le système pour limiter l’utilisation des cellulaires en classe, elle espère que ceux-ci seront clarifiés bientôt.