Étudiants étrangers : La pression immobilière derrière le plafonnement?

Selon le recteur de l’UQAT, Vincent Rousson, le plafonnement des étudiants étrangers par Ottawa vient rétablir une équité entre les universités du pays, notamment avec certaines universités ontariennes.

Ceci étant dit, le recteur reste optimiste pour les quelques 500 à 600 étudiants étrangers qui viennent étudier à l’UQAT par année.

Pour lui, la mesure du ministre fédéral de l’Immigration, qui a pour but de réduire la pression immobilière sur les différentes communautés canadiennes, aura peu d’impact à l’UQAT.  

Pour Vincent Rousson, il est évident que la clientèle étudiante est partie prenante de la pénurie de logements.

Il ne croit toutefois pas que les étudiants étrangers devraient porter le fardeau de la crise.

Notre-Dame-du-Nord, Val-d’Or, Rouyn-Noranda, Amos, Mont-Laurier et Montréal sont tous, par ailleurs, des lieux envisagés pour y établir de nouveaux projets de résidences, mais selon le recteur, la machine administrative gouvernementale ralentit les projets.