Amos : « L’Ostie d’marche » pour changer la honte de camp

Le CALACS d’Amos sort dans la rue avec « L’Ostie d’marche » vendredi soir pour dénoncer la violence sexuelle faite aux femmes.

La violence sexuelle englobe plusieurs éléments, dont les agressions à caractère sexuel, le harcèlement sexuel, l’attouchement sexuel ou encore l’agression sexuelle avec pénétration, explique l’intervenante au CALACS Abitibi, Andréane Brouard.

L’organisme amossois traite une centaine de dossiers par année.

Et le nombre de cas augmente à chaque année, comme partout en Abitibi-Témiscamingue, d’ailleurs, selon l’organisme Point d’appui.

Les CALACS de la région militent activement pour qu’il y ait davantage de considération envers les victimes dans le système judiciaire québécois en région.