La Ville a refusé cette demande, à deux reprises, selon le président de la Légion royale canadienne, Gilles Grenier.
Dans une lettre, datant du 20 janvier 2020, la Ville précise qu'elle reconnaît le travail des anciens combattants, mais que d'autres clientèles fragiles pourraient avoir des raisons de faire la même demande.
À Val-d'Or, la Ville a accordé ce droit aux vétérans l'année dernière et à Amos, une réglementation similaire existe depuis les années 80.
Mentionnons qu'hier, il n'y avait aucun représentant de la Ville de Rouyn-Noranda pour déposer une couronne devant le cénotaphe, lors de la cérémonie du jour du Souvenir.