Main-d’oeuvre : Le secteur manufacturier veut de la formation

La formation comme remède à la pénurie de main-d’œuvre…

Voilà le constat du milieu manufacturier du Québec, qui en appelle, d’une part, à plus de soutien de la part des gouvernements et de l’autre à une revalorisation d’une carrière dans le milieu.

Le problème, c’est que la situation économique actuelle émet trop de pression sur les entreprises, selon Frédéric Verreault, directeur exécutif chez les Chantiers Chibougamau, qui possède des usines à La Sarre et Béarn.

Avec plus de 21 000 postes vacants dans le secteur au Québec, six entreprises sur dix affirment n’avoir d’autre choix que de refuser des contrats, selon les résultats du sondage du MEQ.

Chose certaine, la présidente-directrice générale chez Manufacturiers et Exportateurs du Québec, Véronique Proulx, croit en l’immigration comme levier important pour la réussite du domaine manufacturier en région.